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En 1992 et 1993, la forte sécheresse a obligé les autorités namibiennes à capturer une centaine de chevaux pour éviter le surpâturage. En 1994, au nouveau recensement, il ne restait plus que 135 chevaux. A la suite de la sécheresse, les autorités ont décidé de maintenir artificiellement le nombre total des chevaux à 150 afin de préserver l'écosystème fragile du territoire du Garub. Dans le même temps, les autorités namibiennes ont décidé de protéger cette "race" unique au monde. |
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